C'est d'abord à un renoncement auquel Frédérique se confronte : quitter sa vocation de coiffeuse pour accompagner son mari charcutier dans la reprise de l'affaire familiale. Elle découvre néanmoins le côté relationnel qui existe dans ce métier artisanal, en proposant des repas, vecteurs de partage et de bon-vivre. Elle prend une place toute particulière auprès de familles clientes qu'elle côtoie parfois pendant toute une vie.